Mon ami
Mon ami
Ce terme tu
l’aimais tant pour m’interpeller. Triste fut ce jeudi 28 février 2013, aux
environs de 21heures assis sur mon lit entrain de feuilleter mon cahier de français,
une discipline que tu aimais tant, que tu maitrisais tant .J’avoue que durant
ton court séjour terrestre, tu as émerveillé tant de professeurs grâce à ton éloquence,
ton inspiration et ta bonne diction
Mon frère
Mon frère
Tu
demeureras toujours dans mes prières et dans mes pensées. T’oublier est une
chose impossible car nous avons entrepris beaucoup de choses ensemble. Pieux,
tu l’étais, je me souviens de ce fameux samedi synonyme de notre dernière rencontre,
tu es venu chez moi habillé d’un Bazin marron, des chaussures jaunes avant de
rentrer tu m’as demandé de l’eau pour faire tes ablutions et effectuer la
dernière prière de la journée
Je connais
ta proximité avec tes parents notamment avec ton cher et illustre père dont les
témoignages ont ému plus d’un
Fervent disciple de Serigne Babacar Sy, tu préférais les
chants religieux à la place des musiques rythmées
Ce beau
monde qui t’a accompagné à ta dernière demeure traduit ta gentillesse, ton
humilité et ton respect à l’égard des autres
Frère :
miracle joyeux de la naissance, miracle ténébreux de la mort donc nul ne peut échapper
à cela, la mort est l’aboutissement inéluctable de la vie .L’âme s’en va,
l’homme est physiquement enterré mais ses bienfaits restent demeurent dans la
tête des gens
T’es un
grand homme et les grands les hommes ne meurent jamais
MBAYE
BABACAR SOW que le bon Dieu t’accueille dans son paradis
Soit parmi
ses élus